Fondatrice et dirigeante
Catherine Bachelet

Dans la pratique : je me suis principalement tournée vers le constructivisme et la méthode de la découverte avec induction, questionnement socratique, expérimentation, tatônnement, jeux de rôle, etc.

But : engager les patients dans un travail de recherche des pensées négatives pour les amener à les identifier et à les modifier. La formule de découverte personnelle se généralise et s’intègre à toute la psychothérapie.

> Cas concret : simulation en vidéo de situations de crises psychologiques fictives basées sur des éléments réalistes → traitement par questionnement inductif en thérapie cognitive.

Le Web est pratique pour apprendre; il permet à l’utilisateur d’accéder à l’information rapidement, à son rythme, partout et à toute heure, à moindres frais et de la partager.  En ce sens, j’ai créé le site Web ipsyturn.com, la chaîne YouTube Ipsyturn Strategia avec des vidéos que je relaie sur le site. Le site comporte une partie formation qui contient un MOOC isolé (qui ne se situe pas dans un continuum de formations), en mode asynchrone, individuel, au parcours libre, sans tutorat avec des outils de formation comme les vidéos stratégiques, le blog avec des articles techniques et l’innovation qui apporte une réflexion sur la pratique des TCC. 

Pour mettre l’internaute dans de bonnes conditions et faciliter l’expérience utilisateur :

1. J’ai pris en compte les principes de Mayer : les principes de cohérence, de signalement, de segmentation, d’entraînement, de modalité, du multimédia, de personnalisation.
   
   
2. J’ai considéré les fondamentaux de l’ergonomie et du design Web.
   
   
3. J’amène à identifier les pensées négatives et les techniques de TCC, en libérant l’utilisateur novice des contenus Web trop anxiogènes.
   
   
4. Je partage l’innovation pour les professionnels et les pratiquants chevronnés

J’ai pris en compte les problèmes parfois incompatibles entre pédagogie / Web ou homme / machine :

1. E-learning : granulariser les contenus pour créer des séquences courtes, faciliter l’acquisition des connaissances sur écran, éviter la surcharge cognitive, tenir compte des profils d’apprentissage, etc.
2. Web : rendre les pages compréhensibles pour le robot Google en ciblant les mots clés et le nombre de mots, optimiser le référencement, considérer le besoin des internautes de trouver des informations rapidement sur le Web, garantir la sécurité de base, la performance de téléchargement, etc.

Pour réaliser les ressources et le site, j’ai employé une panoplie d’outils multimédias. J’ai choisi d’installer sur hébergeur, de paramétrer et de maintenir WordPress.org. Avec des plugins de plus en plus développés pour l’e-learning (Tutor LMS, Quiz and survey Master, MetaSlider…), WordPress m’a donné la possibilité de faire à la fois un travail de publication et un travail pédagogique. J’ai ensuite utilisé d’autres outils pour enrichir mes contenus : Imovie, PPT/Keynote, PhotoScape X, et bien d’autres. Pour personnaliser le site, j‘ai souhaité acquérir des connaissances de base en HTML et CSS. Et pour les urgences et les imprévus, j’ai appris à réparer des erreurs de type 500 sur le terrain, en collaboration avec l’équipe de l’hébergeur.